2013... lis... # 12
Le coeur cousu - Carole Martinez
Quatrième de couverture :
"Les dix femmes de l'industriel Rauno Rämekorpi" - Arto Paasilinna
Quatrième de couverture :
""Rauno Rämekorpi, un riche industriel finlandais, fête ses soixante ans. Les invités affluent les bras chargés de fleurs et de cadeaux. Mais Mme Rämekorpi est allergique au pollen et Rauno se voit prié, le dernier convive parti, de convoyer les fleurs à la décharge. En chemin, notre héros a une bien meilleure idée : il offrira les bouquets à ses nombreuses maîtresses. Commence alors une tournée qui va mener notre fringant sexagénaire d'un lit à un autre dans un déluge de champagne et de bonne chère. En attendant que ce don Juan prenne, quelques mois plus tard, à ses risques et périls, les habits du Père Noël... Une farce aux accents rabelaisiens, une réjouissante galerie de portraits de femmes victimes d'un héros qu'on adorera détester !""
Peut-être le dernier roman de cet auteur finlandais que je lis, je n'y prends plus le même plaisir que pour "Le lièvre de Vatanen" (largement en tête de mes préférences, merci Fils Aîné de me l'avoir fait découvrir !), "Le potager des malfaiteurs...", "Petits suicides entre amis", "La cavale du géomètre"... Il m'en reste pourtant encore plusieurs à découvrir !
Celui-ci est truculent certes, prétexte à découvrir des portraits de femmes différentes et sans doute aussi "hors normes" ? On retrouve le chauffeur de taxi de "La cavale du géomètre", toujours dans le rôle de chauffeur de taxi mais aussi assistant de Rauno dans ses frasques... Je ne vais pas bouder mon plaisir non plus mais ce n'est plus une découverte et j'aime me laisser surprendre...
Cité de la Poussière Rouge - Qiu Xiaolong
Quatrième de couverture :
""Shanghai, cité de la Poussière Rouge. Dans cet ensemble de maisons traditionnelles, les habitants aiment se réunir dans l'une des allées pour leur "conversation du soir". De la prise de pouvoir du Parti communiste en 1949 jusqu'à la période actuelle du "socialisme à la chinoise", en passant par la Révolution culturelle, chacun tisse son récit. Travail, précarité, ambition et amour se déclinent selon la grammaire socialiste, car rien n'échappe à l'idéologie. Avec ces nouvelles inspirées du quartier où il a grandi, Qiu Xiaolong pose un regard pénétrant et lucide sur la chine contemporaine.""
"Aussi efficace que bien des pamphlets." Le Monde
et j'ai pris énormément de plaisir à cette découverte entamée avec "Des nouvelles de la Poussière Rouge" tout en apprenant
Tokyo Express - Matsumoto
Quatrième de couverture :
""Un double suicide d'amoureux et une sordide affaire de corruption. Un meurtrier très méticuleux et une enquête bien embrouillée qui pourrait ressembler à première vue à une visite touristique dans tout le Japon. Dans les bars de Tokyo, l'inspecteur Mihara découvre des pots de vin et la vérité au fond d'un verre. Dans les trains, de Kamakura à Hokkaido, il a de curieux pressentiments devant un paysage de chiffres et apprend aussi la poésie japonaise dans un annuaire des chemins de fer.""
""Un des plus célèbres polars japonais du monde moderne, le livre qui consacra Seichô Matsumoto comme le meilleur écrivain de romans policiers du Japon..."" Je suis restée à l'extérieur (non pas qu'il soit nécessaire de "rentrer" dans un polar sans doute), les histoires d'horaires de trains, de ferries, de vols etc..., m'ont rappelé les problèmes de l'école primaire (de mon temps of course...), il faudrait peut-être que j'en fasse une 2ème lecture ! J'avais davantage apprécié "Un endroit discret".
Certaines n'avaient jamais vu la mer - Julie Otsuka
Quatrième de couverture :
""Ces Japonaises ont tout abandonné au début du XXe siècle pour épouser aux Etats-Unis, sur la foi d'un portrait, un inconnu. Celui dont elles ont tant rêvé, qui va tant les décevoir. Choeur vibrant, leurs voix s'élèvent pour raconter l'exil : la nuit de noces, les journées aux champs, la langue revêche, l'humiliation, les joies aussi. Puis le silence de la guerre. Et l'oubli.""
Amazon toujours : Julie Otsuka est née en 1962 en Californie. Diplômée en art à l'université de Yale, elle abandonne finalement la peinture pour se consacrer entièrement à l'écriture. Son premier roman, Quand l'empereur était un dieu, est largement inspiré de la vie de ses grands-parents et a été primé de très nombreuses fois. Son deuxième roman, Certaines n 'avaient jamais vu la mer, a été considéré aux Etats-Unis comme un véritable chef-d'oeuvre. Il fut par ailleurs récompensé, entre autres, par le prix Femina étranger dès sa parution en France.