Après avoir vécu et travaillé loin de chez elle, Rosie décide qu'il est temps de rentrer à Dublin, pour s'occuper de Min, la vieille tante qui l'a élevée. Mais, «il faut du temps pour revenir quelque part...» et les retrouvailles tournent vite au vinaigre. Bientôt, Rosie voit se creuser le fossé qui la sépare de l'infatigable Min, galvanisée par sa découverte de l'Amérique. Et tandis que l'une se réveille de sa torpeur, l'autre se voit rattrapée par la mélancolie... Dans ce roman lumineux, Nuala O'Faolain met en scène une femme tourmentée et attachante, qui fait siennes toutes les interrogations de l'écrivain.
Best Love Rosie est un grand livre sur l'âge, la solitude, l'exil, le sentiment maternel et les chimères de l'amour.
Lu sur Amazon : Née en Irlande au début des années quarante, Nuala O'Faolain est désormais un auteur internationalement reconnu. Elle a publié deux récits autobiographiques - On s'est déjà vu quelque part ?, J'y suis presque - et trois romans - Chimères, L'Histoire de Chicago May pour lequel elle a reçu le Fémina Étranger 2006 et Best Love Rosie. Nuala O'Faolain s'est éteinte le 9 mai 2008 à Dublin.
Les 2 personnages sont aussi "intéressants" (je ne dis pas "attachants" à dessein) l'un que l'autre : Min a gommé sa propre vie pour élever Rosie, laquelle est partie vivre sa vie loin de sa tante et aimerait à son retour (à Dublin) être "tout" pour Min ... mais les choses ne se passent pas comme elle l'aurait souhait. Sa tante décide de mener sa propre barque aux Etats-Unis où elle est allée rejoindre sa nièce pour ce qui aurait dû être une courte période. Ce n'est pas larmoyant mais pas franchement léger non plus même si Rosie finira par trouver l'apaisement.
BEST LOVE ROSIE. Dans ce roman lumineux, Nuala O'Faolain met en scène une femme généreuse, tourmentée et attachante, qui fait siennes toutes les interrogations de l'écrivain. Best love Rosie est un grand livre sur l'âge, la solitude, l'exil, le sentiment maternel et les chimères de l'amour. Après avoir vécu et travaillé dans le monde entier, Rosie décide de rentrer à Dublin pour s'occuper de Min, la vieille tante qui l'a élevée. Rien n'a changé dans le quartier populaire où elle a grandi, et la cohabitation avec Min, dépressive et alcoolique, n'a rien d'exaltant. En feuilletant pour sa tante des ouvrages de développement personnel, l'idée vient à Rosie de s'occuper utilement en rédigeant un manuel pour les plus de cinquante ans. Sa seule relation dans l'édition vivant aux États-Unis, elle se frottera, non sans heurts, au marché américain... Le roman s'emballe quand Rosie voit débarquer à New York la tante Min, qu'elle avait laissée, le temps d'un aller-retour, dans une maison de repos. La vieille dame est galvanisée par sa découverte de l'Amérique : elle se fait des amies, trouve un travail, et pour rien au monde ne voudrait renouer avec son ancienne vie. Encore moins pour reprendre possession de la maison de son enfance, que l'armée veut lui restituer. Rosie, elle, tombe amoureuse de ce lieu magique de la côte irlandaise, et va, dans une osmose avec la nature enchanteresse et les animaux qu'elle adopte, s'y laisser pousser des racines. La lucidité de Nuala O'Faolain, sa tendresse pour ses personnages, font merveille une fois de plus dans ce livre, où l'on suit avec jubilation souvent, le coeur serré parfois, les tribulations de ces deux femmes que lie toute la complexité d'un amour maternel qui ne dit pas son nom.
Née en Irlande en 1940, Nuala O'Faolain, auteur de cinq livres tous publiés chez Sabine Wespieser éditeur - parmi lesquels L'Histoire de Chicago May (Prix Femina étranger 2006) -, est morte à Dublin le 9 mai 2008.
BEST LOVE ROSIE. Dans ce roman lumineux, Nuala O'Faolain met en scène une femme généreuse, tourmentée et attachante, qui fait siennes toutes les interrogations de l'écrivain. Best love Rosie est un grand livre sur l'âge, la solitude, l'exil, le sentiment maternel et les chimères de l'amour. Après avoir vécu et travaillé dans le monde entier, Rosie décide de rentrer à Dublin pour s'occuper de Min, la vieille tante qui l'a élevée. Rien n'a changé dans le quartier populaire où elle a grandi, et la cohabitation avec Min, dépressive et alcoolique, n'a rien d'exaltant. En feuilletant pour sa tante des ouvrages de développement personnel, l'idée vient à Rosie de s'occuper utilement en rédigeant un manuel pour les plus de cinquante ans. Sa seule relation dans l'édition vivant aux États-Unis, elle se frottera, non sans heurts, au marché américain... Le roman s'emballe quand Rosie voit débarquer à New York la tante Min, qu'elle avait laissée, le temps d'un aller-retour, dans une maison de repos. La vieille dame est galvanisée par sa découverte de l'Amérique : elle se fait des amies, trouve un travail, et pour rien au monde ne voudrait renouer avec son ancienne vie. Encore moins pour reprendre possession de la maison de son enfance, que l'armée veut lui restituer. Rosie, elle, tombe amoureuse de ce lieu magique de la côte irlandaise, et va, dans une osmose avec la nature enchanteresse et les animaux qu'elle adopte, s'y laisser pousser des racines. La lucidité de Nuala O'Faolain, sa tendresse pour ses personnages, font merveille une fois de plus dans ce livre, où l'on suit avec jubilation souvent, le coeur serré parfois, les tribulations de ces deux femmes que lie toute la complexité d'un amour maternel qui ne dit pas son nom.
Née en Irlande en 1940, Nuala O'Faolain, auteur de cinq livres tous publiés chez Sabine Wespieser éditeur - parmi lesquels L'Histoire de Chicago May (Prix Femina étranger 2006) -, est morte à Dublin le 9 mai 2008.
BEST LOVE ROSIE. Dans ce roman lumineux, Nuala O'Faolain met en scène une femme généreuse, tourmentée et attachante, qui fait siennes toutes les interrogations de l'écrivain. Best love Rosie est un grand livre sur l'âge, la solitude, l'exil, le sentiment maternel et les chimères de l'amour. Après avoir vécu et travaillé dans le monde entier, Rosie décide de rentrer à Dublin pour s'occuper de Min, la vieille tante qui l'a élevée. Rien n'a changé dans le quartier populaire où elle a grandi, et la cohabitation avec Min, dépressive et alcoolique, n'a rien d'exaltant. En feuilletant pour sa tante des ouvrages de développement personnel, l'idée vient à Rosie de s'occuper utilement en rédigeant un manuel pour les plus de cinquante ans. Sa seule relation dans l'édition vivant aux États-Unis, elle se frottera, non sans heurts, au marché américain... Le roman s'emballe quand Rosie voit débarquer à New York la tante Min, qu'elle avait laissée, le temps d'un aller-retour, dans une maison de repos. La vieille dame est galvanisée par sa découverte de l'Amérique : elle se fait des amies, trouve un travail, et pour rien au monde ne voudrait renouer avec son ancienne vie. Encore moins pour reprendre possession de la maison de son enfance, que l'armée veut lui restituer. Rosie, elle, tombe amoureuse de ce lieu magique de la côte irlandaise, et va, dans une osmose avec la nature enchanteresse et les animaux qu'elle adopte, s'y laisser pousser des racines. La lucidité de Nuala O'Faolain, sa tendresse pour ses personnages, font merveille une fois de plus dans ce livre, où l'on suit avec jubilation souvent, le coeur serré parfois, les tribulations de ces deux femmes que lie toute la complexité d'un amour maternel qui ne dit pas son nom.
Née en Irlande en 1940, Nuala O'Faolain, auteur de cinq livres tous publiés chez Sabine Wespieser éditeur - parmi lesquels L'Histoire de Chicago May (Prix Femina étranger 2006) -, est morte à Dublin le 9 mai 2008.
Dans ce roman lumineux, Nuala O'Faolain met en scène une femme généreuse, tourmentée et attachante, qui fait siennes toutes les interrogations de l'écrivain. Best love Rosie est un grand livre sur l'âge, la solitude, l'exil, le sentiment maternel et les chimères de l'amour. Après avoir vécu et travaillé dans le monde entier, Rosie décide de rentrer à Dublin pour s'occuper de Min, la vieille tante qui l'a élevée. Rien n'a changé dans le quartier populaire où elle a grandi, et la cohabitation avec Min, dépressive et alcoolique, n'a rien d'exaltant. En feuilletant pour sa tante des ouvrages de développement personnel, l'idée vient à Rosie de s'occuper utilement en rédigeant un manuel pour les plus de cinquante ans. Sa seule relation dans l'édition vivant aux États-Unis, elle se frottera, non sans heurts, au marché américain... Le roman s'emballe quand Rosie voit débarquer à New York la tante Min, qu'elle avait laissée, le temps d'un aller-retour, dans une maison de repos. La vieille dame est galvanisée par sa découverte de l'Amérique : elle se fait des amies, trouve un travail, et pour rien au monde ne voudrait renouer avec son ancienne vie. Encore moins pour reprendre possession de la maison de son enfance, que l'armée veut lui restituer. Rosie, elle, tombe amoureuse de ce lieu magique de la côte irlandaise, et va, dans une osmose avec la nature enchanteresse et les animaux qu'elle adopte, s'y laisser pousser des racines. La lucidité de Nuala O'Faolain, sa tendresse pour ses personnages, font merveille une fois de plus dans ce livre, où l'on suit avec jubilation souvent, le coeur serré parfois, les tribulations de ces deux femmes que lie toute la complexité d'un amour maternel qui ne dit pas son nom.
Née en Irlande en 1940, Nuala O'Faolain, auteur de cinq livres tous publiés chez Sabine Wespieser éditeur - parmi lesquels L'Histoire de Chicago May (Prix Femina étranger 2006) -, est morte à Dublin le 9 mai 2008.
Dans ce roman lumineux, Nuala O'Faolain met en scène une femme généreuse, tourmentée et attachante, qui fait siennes toutes les interrogations de l'écrivain. Best love Rosie est un grand livre sur l'âge, la solitude, l'exil, le sentiment maternel et les chimères de l'amour. Après avoir vécu et travaillé dans le monde entier, Rosie décide de rentrer à Dublin pour s'occuper de Min, la vieille tante qui l'a élevée. Rien n'a changé dans le quartier populaire où elle a grandi, et la cohabitation avec Min, dépressive et alcoolique, n'a rien d'exaltant. En feuilletant pour sa tante des ouvrages de développement personnel, l'idée vient à Rosie de s'occuper utilement en rédigeant un manuel pour les plus de cinquante ans. Sa seule relation dans l'édition vivant aux États-Unis, elle se frottera, non sans heurts, au marché américain... Le roman s'emballe quand Rosie voit débarquer à New York la tante Min, qu'elle avait laissée, le temps d'un aller-retour, dans une maison de repos. La vieille dame est galvanisée par sa découverte de l'Amérique : elle se fait des amies, trouve un travail, et pour rien au monde ne voudrait renouer avec son ancienne vie. Encore moins pour reprendre possession de la maison de son enfance, que l'armée veut lui restituer. Rosie, elle, tombe amoureuse de ce lieu magique de la côte irlandaise, et va, dans une osmose avec la nature enchanteresse et les animaux qu'elle adopte, s'y laisser pousser des racines. La lucidité de Nuala O'Faolain, sa tendresse pour ses personnages, font merveille une fois de plus dans ce livre, où l'on suit avec jubilation souvent, le coeur serré parfois, les tribulations de ces deux femmes que lie toute la complexité d'un amour maternel qui ne dit pas son nom.
Née en Irlande en 1940, Nuala O'Faolain, auteur de cinq livres tous publiés chez Sabine Wespieser éditeur - parmi lesquels L'Histoire de Chicago May (Prix Femina étranger 2006) -, est morte à Dublin le 9 mai 2008.
Dans ce roman lumineux, Nuala O'Faolain met en scène une femme généreuse, tourmentée et attachante, qui fait siennes toutes les interrogations de l'écrivain. Best love Rosie est un grand livre sur l'âge, la solitude, l'exil, le sentiment maternel et les chimères de l'amour. Après avoir vécu et travaillé dans le monde entier, Rosie décide de rentrer à Dublin pour s'occuper de Min, la vieille tante qui l'a élevée. Rien n'a changé dans le quartier populaire où elle a grandi, et la cohabitation avec Min, dépressive et alcoolique, n'a rien d'exaltant. En feuilletant pour sa tante des ouvrages de développement personnel, l'idée vient à Rosie de s'occuper utilement en rédigeant un manuel pour les plus de cinquante ans. Sa seule relation dans l'édition vivant aux États-Unis, elle se frottera, non sans heurts, au marché américain... Le roman s'emballe quand Rosie voit débarquer à New York la tante Min, qu'elle avait laissée, le temps d'un aller-retour, dans une maison de repos. La vieille dame est galvanisée par sa découverte de l'Amérique : elle se fait des amies, trouve un travail, et pour rien au monde ne voudrait renouer avec son ancienne vie. Encore moins pour reprendre possession de la maison de son enfance, que l'armée veut lui restituer. Rosie, elle, tombe amoureuse de ce lieu magique de la côte irlandaise, et va, dans une osmose avec la nature enchanteresse et les animaux qu'elle adopte, s'y laisser pousser des racines. La lucidité de Nuala O'Faolain, sa tendresse pour ses personnages, font merveille une fois de plus dans ce livre, où l'on suit avec jubilation souvent, le coeur serré parfois, les tribulations de ces deux femmes que lie toute la complexité d'un amour maternel qui ne dit pas son nom.
Née en Irlande en 1940, Nuala O'Faolain, auteur de cinq livres tous publiés chez Sabine Wespieser éditeur - parmi lesquels L'Histoire de Chicago May (Prix Femina étranger 2006) -, est morte à Dublin le 9 mai 2008.
Dans ce roman lumineux, Nuala O'Faolain met en scène une femme généreuse, tourmentée et attachante, qui fait siennes toutes les interrogations de l'écrivain. Best love Rosie est un grand livre sur l'âge, la solitude, l'exil, le sentiment maternel et les chimères de l'amour. Après avoir vécu et travaillé dans le monde entier, Rosie décide de rentrer à Dublin pour s'occuper de Min, la vieille tante qui l'a élevée. Rien n'a changé dans le quartier populaire où elle a grandi, et la cohabitation avec Min, dépressive et alcoolique, n'a rien d'exaltant. En feuilletant pour sa tante des ouvrages de développement personnel, l'idée vient à Rosie de s'occuper utilement en rédigeant un manuel pour les plus de cinquante ans. Sa seule relation dans l'édition vivant aux États-Unis, elle se frottera, non sans heurts, au marché américain... Le roman s'emballe quand Rosie voit débarquer à New York la tante Min, qu'elle avait laissée, le temps d'un aller-retour, dans une maison de repos. La vieille dame est galvanisée par sa découverte de l'Amérique : elle se fait des amies, trouve un travail, et pour rien au monde ne voudrait renouer avec son ancienne vie. Encore moins pour reprendre possession de la maison de son enfance, que l'armée veut lui restituer. Rosie, elle, tombe amoureuse de ce lieu magique de la côte irlandaise, et va, dans une osmose avec la nature enchanteresse et les animaux qu'elle adopte, s'y laisser pousser des racines. La lucidité de Nuala O'Faolain, sa tendresse pour ses personnages, font merveille une fois de plus dans ce livre, où l'on suit avec jubilation souvent, le coeur serré parfois, les tribulations de ces deux femmes que lie toute la complexité d'un amour maternel qui ne dit pas son nom.
Née en Irlande en 1940, Nuala O'Faolain, auteur de cinq livres tous publiés chez Sabine Wespieser éditeur - parmi lesquels L'Histoire de Chicago May (Prix Femina étranger 2006) -, est morte à Dublin le 9 mai 2008.
BEST LOVE ROSIE. Dans ce roman lumineux, Nuala O'Faolain met en scène une femme généreuse, tourmentée et attachante, qui fait siennes toutes les interrogations de l'écrivain. Best love Rosie est un grand livre sur l'âge, la solitude, l'exil, le sentiment maternel et les chimères de l'amour. Après avoir vécu et travaillé dans le monde entier, Rosie décide de rentrer à Dublin pour s'occuper de Min, la vieille tante qui l'a élevée. Rien n'a changé dans le quartier populaire où elle a grandi, et la cohabitation avec Min, dépressive et alcoolique, n'a rien d'exaltant. En feuilletant pour sa tante des ouvrages de développement personnel, l'idée vient à Rosie de s'occuper utilement en rédigeant un manuel pour les plus de cinquante ans. Sa seule relation dans l'édition vivant aux États-Unis, elle se frottera, non sans heurts, au marché américain... Le roman s'emballe quand Rosie voit débarquer à New York la tante Min, qu'elle avait laissée, le temps d'un aller-retour, dans une maison de repos. La vieille dame est galvanisée par sa découverte de l'Amérique : elle se fait des amies, trouve un travail, et pour rien au monde ne voudrait renouer avec son ancienne vie. Encore moins pour reprendre possession de la maison de son enfance, que l'armée veut lui restituer. Rosie, elle, tombe amoureuse de ce lieu magique de la côte irlandaise, et va, dans une osmose avec la nature enchanteresse et les animaux qu'elle adopte, s'y laisser pousser des racines. La lucidité de Nuala O'Faolain, sa tendresse pour ses personnages, font merveille une fois de plus dans ce livre, où l'on suit avec jubilation souvent, le coeur serré parfois, les tribulations de ces deux femmes que lie toute la complexité d'un amour maternel qui ne dit pas son nom.
Née en Irlande en 1940, Nuala O'Faolain, auteur de cinq livres tous publiés chez Sabine Wespieser éditeur - parmi lesquels L'Histoire de Chicago May (Prix Femina étranger 2006) -, est morte à Dublin le 9 mai 2008.
Un des meilleurs livres de l'année selon The New York Times, prix du meilleur premier roman du Los Angeles Times devant L'Art du jeu de Chad Harbach, une œuvre coup de poing, qui insuffle un grain de folie à la Kusturica dans un témoignage aussi poignant que Le Journal d’Anne Franck. L’incroyable odyssée d’un jeune comédien bosniaque qui rêvait de Californie… Trois secondes. Quand il entend le bruit d’un tir au canon, Ismet sait qu’il a exactement trois secondes pour se mettre à l’abri. Et à 18 ans, cela fait longtemps qu’il sait reconnaître le bruit des bombardements. Mais Ismet a trouvé un moyen pour fuir les horreurs de la guerre : le théâtre. Et quand sa troupe est invitée en Écosse, il quitte le pays. Destination finale : la Californie. Là-bas, Ismet devient Izzy, pourtant il reste hanté par ceux qu’il a laissés. Le jeune homme se met alors à écrire, à tout écrire : de ses jeux d’enfant obsédé par les ninjas au cheddar offert à son arrivée sur le sol américain, de la visite médicale où il croise un certain Mustafa au destin qu’il imagine à ce jeune Bosniaque, envoyé au front et blessé… déchiré entre sa face A(méricaine) et sa face B(osniaque), Ismet porte un roman aussi beau que bouleversant sur la jeunesse en temps de guerre et la douleur de l’exil.
Le jeune Ismet quitte sa famille, sa ville dévastée, son pays en guerre, presque malgré lui, à la faveur d'une invitation de sa troupe de théâtre à Edinburgh. Il se rend compte que son père - contrairement à ce qu'on lui a dit - n'a pas arrangé sa fuite vers la Californie où vit son oncle et prend donc personnellement la décision de continuer son voyage vers les Etats-Unis... A partir de là, 2 histoires en parallèle, celle d'Ismet devenu Izzy et celle de Mustafa resté au pays et enrôlé dans une "unité spéciale"... C'est "fort", un peu à la Kusturica en effet, il y a de la fureur, des excès, etc... J'ai bien aimé !
La fille cachée - Lisa Gardner
Texas, 1977. Un tueur en série, Russell Lee Holmes, est exécuté pour le meurtre de six enfants, dont Meagan Stockes, le fille d'un honorable médecin de Boston. Mais qu'est devenue sa petite fille, dont il n'a jamais révélé l'identité ? Une vingtaine d'années plus tard, un journaliste de la presse à scandale révèle à Mélanie, la fille adoptive du Dr Stockes, la véritable identité de son père génétique : Russell Lee Holmes ! Ce qui pourrait n'être qu'un choc psychologique se double d'une énigme, car Mélanie a été adoptée à l'âge de neuf ans, quelques jours seulement après la mort de Holmes. Et elle n'a aucun souvenir de sa prime enfance... Peu de temps après, le journaliste meurt dans des conditions mystérieuses. Et Mélanie, harcelée de coups de téléphone anonymes, reçoit des menaces de mort...
Sally, Cindy, Lucile… Depuis l’enfance, Annabelle Granger s’est habituée à devoir changer brusquement de prénom, de nom, de maison, de ville, d’histoire… Sans que ses parents lui donnent la moindre explication. Bien plus tard, la découverte, dans une chambre souterraine de l’ancien hôpital psychiatrique de Boston, des cadavres de six fillettes fait la une des journaux. L’une d’elles porte un médaillon au nom d’Annabelle Granger. L’heure n’est plus à la fuite et Annabelle décide de sortir enfin de l’ombre. Mais le tueur est toujours aux aguets. Il l’attend. Depuis vingt-cinq ans. Le début surprenant d’un suspense qui ne l’est pas moins…
Une enquête menée par l'inspectrice D.D.Warren, que l'on retrouve dans La Maison d'à côté, Grand Prix des lectrices de Elle 2011.
Jack & Jill - James Patterson
4ème de couverture :
"Pouf, pouf... ça sera toi que nous refroidirons, mais comme le roi et la reine ne le veulent pas, ça ne sera pas toi..." C'est un peu comme ça que Jack et Jill, les amants diaboliques, choisissent leurs victimes. Par hasard. Par jeu. Un petit jeu qui commence à éclaircir les rangs des personnalités de Washington.
Inutile de préciser que les services secrets, le FBI et la CIA sont à cran. Surtout depuis que Jack et Jill ont annoncé leur intention d'estourbir le président des Etats-Unis. Pour démêler cette terrible affaire, les autorités font appel à l'inspecteur et docteur ès psychologie Alex Cross qui préfèrerait utiliser son énergie pour neutraliser un autre tueur, celui qui assassine sauvagement les enfants noirs de son quartier."
Ces 3 "thrillers" m'ont apporté de bonnes heures de détente, ce que j'attends de ce genre de lectures donc !
Le directeur de nuit - John Le Carré
Présentation de l'éditeur
La seule femme qu'il ait jamais aimée a été assassinée. Pour échapper à ce cauchemar, Jonathan Pyne abandonne l'espionnage et prend la direction d'un palace suisse. Roper, le commanditaire du meurtre, refait surface. Aussitôt Pyne renoue avec l'univers dangereux du trafic d'armes et de drogue. Pour survivre, il doit s'inventer de multiples identités. Au risque d'y perdre la sienne... --Ce texte fait référence à l'édition Poche .
Quatrième de couverture
L'Anglais Jonathan Pyne est devenu directeur de nuit d'un palace suisse pour fuir ses démons: la mémoire d'un père héroïque qu'il croit mort au champ d'honneur, sa propre expérience de soldat en mission clandestine en Irlande, son mariage raté, ses angoisses existentielles. Mais, rattrapé par son passé lorsque la femme qu'il aime est assassinée, il se laisse recruter par un agent secret afin de démasquer le commanditaire du meurtre, un milliardaire aussi fascinant que répugnant, qui se livre impunément à des trafics en tous genres.
Sa dangereuse traque de « l'homme le plus ignoble au monde » l'obligera à s'inventer de multiples avatars au risque de se perdre lui-même, et l'entraînera de la Cornouailles au Québec -en passant par les Bahamas, les Caraïbes et le Panama- mais surtout au coeur des labyrinthes du pouvoir, où se trament des alliances contre nature entre la communauté du renseignement et les barons du trafic d'armes.
Le Directeur de nuit marque un tournant dans l'oeuvre de John le Carré: premier roman de l'après-guerre froide, il fait la part belle à l'action, menée tambour battant, tout en dénonçant la décadence de Services secrets devenus aussi immoraux que les criminels qu'ils ont pour devoir de pourchasser.""
Je n'ai pas eu autant de plaisir à lire ce roman de John Le carré : les histoires de services secrets, de ventes d'armes, etc... ce n'est pas trop mon truc !
J'ai écouté en livre audio un roman de john Le Carré, je n'ai pas accroché du tout,du tout ! Par contre je pense te faire un emprunt si tu est d'accord....<br />
<br />
Bisous
Tu as pris des cours de lecture rapide ou quoi ??? je prends bonne note de certaines de tes lectures me plaisent bien.<br />
<br />
Contente que tu sois revienduuuu !!!<br />
<br />
Bacioniiiiiiiiiii e buona notte <br />
<br />
armella